Deux personnes se font face. D’un côté, il y a des modules reliés par des câbles de toutes les couleurs. De l’autre, il y a un synthétiseur et un micro. Entre les deux, des chansons jaillissent et se voient jalonnées d’espaces de récréation et de danse dans une atmosphère dominante de techno garage new wave, gentiment traversée par du dub et une pointe de psychédélique. 

Composés entre Belle-ile-en-mer, Marseille et Paris, les treize titres (7 chansons et 5 instrumentaux) s’enchaînent comme des chroniques sociales teintées de poésie et de constats doux-amer sur l’époque et les doutes identitaires qui en émergent.